Black Friday is renowned in the world as the day when consumers can save big money on a wide array of items, from clothes to TV. It originated in the United States, and follows Thanksgiving which is celebrated each year on the fourth Thursday of November. Wondering why it is called ‘’Black Friday”? Strange as it may seem, the name is in fact used to reflect retailers’ success. It is a common accounting practice to use red ink when recording losses in the book entries while black ink is used to indicate profit.
Last year, together with shoppers and the Global Rainbow Foundation, Ascencia made this event more meaningful. Thanks to the 104,037 mall visitors who came to do their shopping at Bagatelle Mall, Phoenix Mall, Riche Terre Mall, Bo’Valon Mall, So’flo, Kendra and Les Allées, Ascencia was able to donate Rs 104,037 to the Global Rainbow Foundation (GRF). Rs 1 for each visitor that stepped into one of the malls that Friday. A beautiful metaphor illustrating the fact that each step counts. The money collected was used to fund the GRF’s Holistic Therapy Program, an initiative that aims to help people with disabilities.
For Alisha Dulbhujun, Marketing Manager of Phoenix Mall and Riche Terre Mall, it goes without saying that Ascencia has to support the regions surrounding the shopping malls. “We are committed to supporting the actions of various organizations across the island throughout the year by integrating them into our campaigns. In so doing, we highlight the work of different NGOs. That is the reason why we wanted to give a boost to the project of the Global Rainbow Foundation,” explains Alisha.
The Holistic Therapy program of the Global Rainbow Foundation is designed for special needs schools and contributes to students’ growth, ensuring that they manage to find their place in society. “I am grateful to Ascencia for supporting our yoga, laughter and art therapies, disciplines that are in high demand and much appreciated by our students,” said Professor Parsuramen, the founder of GRF. Impressed by the success of the campaign, he also declared that the idea of turning a purely commercial event into a sharing opportunity was excellent.
Early this year, the Global Rainbow Foundation was already working with seven schools in the North and conducted 4 art therapy workshops in Flacq and Beau-Bassin. To date, the program has boosted the students’ morale and confidence, and even helped improve significantly their mobility. There is no doubt that yoga, laughter and art are a wonderful combination for someone’s well-being!
Founded in 2011 by Prof. Armoogum Parsuramen G.O.S.K, the charitable trust is committed to support people belonging to the most disadvantaged and marginalised groups in society; especially persons with disabilities. Through its wide range of activities, the GRF advocates for their rights while educating, enabling and empowering them. The GRF organises regular sensitisation campaigns and activities with the hope of changing people’s stereotypical perceptions and attitudes towards people with disabilities. With the help of medical professionals, the organization provides physical, speech and emotional therapy. They also ensure that people with disabilities are re-integrated into society through their employability program.
*Statistics Mauritius. Housing Population Census 2011.
Fin 2019, Ascencia a accueilli au Riche Terre Mall les enfants de l’Association des Amis de Don Bosco pour un goûter de Noël inoubliable. L’occasion de découvrir le travail hors pair mené par cette association depuis 2010 et les liens étroits noués avec le groupe Ascencia au fil du temps.
De la joie, des gourmandises et des cadeaux : tous les critères étaient réunis, le 27 décembre dernier, pour célébrer Noël! Ces festivités, parrainées par Riche Terre Mall étaient destinées aux enfants de l’Association des Amis de Don Bosco. Après un goûter « Chocolate Party », ils ont été invités à ouvrir leurs cadeaux : ballons de volley-ball, sacs et gants de boxe, speedballs et même un trampoline leur ont été offerts. Même le temps pluvieux n’a pas atténué les sourires peints sur leurs visages !
L’Association des Amis de Don Bosco accompagne les jeunes les plus vulnérables en leur offrant un foyer où grandir en toute sécurité, dans un environnement familial stable. Son objectif est de leur fournir un encadrement et de l’affection pour leur redonner confiance. L’accompagnement apporté, qu’il soit de quelques semaines ou de plusieurs années, vise à favoriser leur intégration à la société. Roger Rabemananjara, coordinateur de l’association, nous explique sa philosophie d’apprentissage : « Nous éduquons en humanisant et humanisons en éduquant ».
L’association tire son nom de Saint Jean Bosco, un prêtre italien qui a voué sa vie à l’éducation des enfants défavorisés. Fidèle à cet héritage, l’association a développé différents centres dans les régions les plus pauvres de l’île. On compte ainsi deux maisons d’accueil, un espace de détente et un centre d’éducation préscolaire à Baie du Tombeau ; une maison de l’enfance à Terre Rouge ; un déjeuner quotidien offert à 75 enfants vulnérables du Collège Père Laval à Sainte Croix ; un espace solidaire à Résidence La Cure… et autant de projets en cours de développement.
Se définissant comme « Une grande famille au sein d’une maison d’accueil », l’association peut compter sur l’aide de soignants et bénévoles.
À l’image d’une famille aimante, ils se sont même vus attribuer les doux noms de tonton, tatie, papi et mamie ! Comme cette grand-mère qui offre chaque jour ses attentions à ses « trente petits-enfants ». Bienveillante, elle est un gage d’affection et une figure rassurante.
En dépit de son travail essentiel, l’association lutte chaque jour pour exister. Soutenue en partie par la National Social Inclusive Foundation, elle déploie toutes ses capacités pour mobiliser en parallèle le secteur privé et son CSR, tout en comptant sur l’aide des particuliers. C’est pourquoi Ascencia lui apporte son soutien depuis 2017 – lui permettant d’aménager des systèmes de stockage et de distribution d’eau, mais aussi d’organiser des goûters surprises ou de collecter du matériel.
Aider ces enfants à grandir sereinement, c’est leur donner l’opportunité de se bâtir un avenir meilleur. Accompagnons les Amis de Don Bosco dans cette belle mission !
En septembre dernier, Bagatelle Mall a accueilli FoodWise, une entreprise sociale qui lutte contre le gaspillage alimentaire, pour tester son nouveau concept « Rejuice » : des jus frais, pressés à partir de fruits et légumes qui ne répondent pas aux standards des supermarchés ou des consommateurs. Retour sur le succès retentissant d’une opération zero waste !
Choisir les aliments les plus « beaux » au supermarché est devenu un geste anodin mais empreint de conséquences : les autres, considérés moins esthétiques, terminent à la poubelle. Ce qui, en plus du gaspillage, rend la gestion de stock difficile.
À travers Rejuice, FoodWise veut démontrer que les produits frais ont le même goût, qu’importe leur forme et couleur. « Nous ne voulions surtout pas cacher ces produits considérés comme laids, mais au contraire les mettre en avant afin d’amener du sens, de la transparence et des valeurs à l’achat du produit », précise la directrice de FoodWise, Rebecca Espitalier-Noël.
Rejuice n’était pas seulement une opération de relations publiques mais surtout une opération zero waste, dont l’objectif était de créer de la valeur à partir des rejets de l’industrie, et ce sans utiliser de nouvelles ressources. L’initiative était un succès : 900 jus frais ont été pressés, soit 550 kg de fruits et de légumes – ou 3 600 pièces – économisés !
FoodWise s’attèle à lutter contre le fléau du gaspillage alimentaire. Selon le ministère de l’Environnement, 146 000 tonnes de déchets alimentaires ont été jetées à Marchicose en 2018 – un bilan désastreux auquel nous contribuons tous.
« Transformer la contrainte de gestion des invendus alimentaires en une opportunité », voici donc la mission de FoodWise, qui a développé un système innovant de redistribution des surplus. À ce jour, FoodWise travaille avec 25 entreprises partenaires et 60 ONG et écoles défavorisées qui se sont vu remettre – en un an seulement – 200 000 repas.
« Nous sommes très fiers d’avoir suscité un début de prise de conscience au niveau des entreprises, soutient Rebecca. Nous souhaitons maintenant travailler avec l’État afin de définir une stratégie nationale. Maurice a tout à gagner en s’attaquant à cet enjeu économique, social et environnemental. » En effet, la lutte contre le gaspillage ne se limite pas au don du surplus aux personnes vulnérables : elle permet aussi d’économiser des ressources, de réduire le prix des denrées et d’alléger l’empreinte carbone du pays.
Le développement d’une solution technologique permettant de rendre plus efficace le système de gestion des invendus alimentaires. « La technologie va jouer un grand rôle dans cette transition, de même que la mise en place d’un business model durable », conclut la directrice.
« Nous sommes très fiers d’avoir suscité un début de prise de conscience au niveau des entreprises, soutient Rebecca. Nous souhaitons maintenant travailler avec l’État afin de définir une stratégie nationale. Maurice a tout à gagner en s’attaquant à cet enjeu économique, social et environnemental. » En effet, la lutte contre le gaspillage ne se limite pas au don du surplus aux personnes vulnérables : elle permet aussi d’économiser des ressources, de réduire le prix des denrées et d’alléger l’empreinte carbone du pays.
Vous voulez goûter aux jus de FoodWise ? L’équipe réfléchit à l’implémentation d’un bar à jus zero waste, opérationnel 7/7…
Affaire à suivre !
Courir, c’est bien. Bien se préparer pour une course, c’est mieux. Le trail a fait de nombreux adeptes à Maurice depuis ces dix dernières années. S’il est vrai que la course à pied nécessite peu d’investissements financiers, un minimum de préparation est primordial pour ne pas finir dans les fatak.
On ne dira jamais assez l’importance d’avoir une activité physique régulière. La course à pied est probablement le sport le plus accessible pour se maintenir en forme dans des conditions relativement simples. L’avantage du trail est de procurer tous ces bienfaits en donnant la possibilité de profiter de la nature. Quelques règles sont à suivre pour tirer le maximum de cette activité.
Certains s’équipent de matériels dernier cri pour observer leur rythme cardiaque et mesurer les dénivelés du parcours. Mais le plus important (et le plus logique) est d’investir dans une bonne paire de chaussures. Et un petit rodage est nécessaire avant le jour J car les premières utilisations apportent leurs lots de cloques. Puisqu’un trail provoque toujours quelques bobos, mieux vaut limiter la souffrance le jour de la course.
Néanmoins, Ansha Roy, Administrative Assistant à Ascencia, livre une astuce si vous deviez vous équiper quelques heures avant la course : « En 2016, j’avais acheté mes chaussures la veille du Dodo Trail. Il faut prendre 1½ pointure plus grande dans ce cas. »
Si la distance des entraînements varie selon la longueur de votre course, vous ne pourrez déroger à une règle : le repos. « Les jours où je fais mes 5 km d’entraînement, je m’assure de dormir 8 h », explique Daisyna Theodore, HR Officer à Ascencia.
À J-1, chacun a ses petits rituels. Ansha se réveille très tôt, s’étire et prend un petit-déjeuner léger et beaucoup d’eau. Daisyna, elle, se repose toute la journée et évite les sucres transformés au dîner avant une bonne nuit de sommeil.
C’est une évidence, mais il est important de rappeler que le ravitaillement est essentiel pendant la course. Cependant, il n’est pas toujours nécessaire de prévoir à manger selon la distance du trail. Si Daisyna emporte qu’une banane, Ansha choisit de ne pas manger pendant un trail. En revanche, les deux s’accordent sur l’hydratation : 1 l d’eau pour 10 km. « Il faut y aller à petites gorgées pour rester hydraté tout le long », précise Ansha.
Parlant de l’importance du mental, Daisyna explique qu’une mauvaise préparation peut vous faire lâcher prise pendant la course. « Dans mon cas, il s’agit d’un défi personnel, clarifie Ansha. Je suis détendue, mais reste attentive à mes limites. »
Prendre soin de soi après une course c’est aussi bien se préparer pour la prochaine. « Quand je rentre, je prends une douche chaude pour me détendre les muscles et je mange bien. Avant d’aller au lit, je prends un antidouleur pour éviter de souffrir le lendemain ».
Les conseils pour les trailers sont nombreux, mais il s’agit de savoir les adapter en étant attentif à son corps. Daisyna conclut : « Chacun ayant un métabolisme différent, il faut que le ou la trailer consulte pour être au fait de son état de santé et son niveau physique pour se préparer en conséquence. »
Chaque année, plus d’un demi-million de tonnes de déchets sont transportées au centre d’enfouissement de Mare Chicose. Ce chiffre pourrait diminuer en triant et recyclant mieux nos déchets. Pour y voir plus clair, faites le tri dans vos connaissances…
NON. Le papier, le carton, le textile, les bouteilles en plastique, les déchets électriques et le verre peuvent être recyclés. À Maurice, Mission Verte a installé 25 points d’apport volontaire pour collecter le carton, le papier, les cannettes et les bouteilles en plastique. « Le recyclage est le dernier maillon, tout commence par le tri », insiste la représentante de l’ONG, Véronique Menagé. Ces déchets ménagers sont ensuite distribués aux recycleurs, mais la majorité est exportée. « Nous n’avons pas assez de déchets triés pour démarrer une industrie du recyclage à Maurice », poursuit Véronique Menagé. Cependant, quelques entreprises mauriciennes se sont lancées : RVE pour les déchets électroniques, Surfrider pour le plastique et Recycling Industries pour le textile.
OUI, MAIS… Le papier prend deux à cinq mois pour se dégrader et l’encre est toxique. Plus de 76 000 tonnes de papier ont fini à Mare Chicose en 2018… Plusieurs entreprises à Maurice récupèrent le papier usagé – MAFTA International, Paper Link ou Neel Trading and Facilities. Ce papier est ensuite exporté, principalement en Asie, pour y être recyclé.
NON. Si l’on incite à utiliser des bouteilles en verre plutôt qu’en plastique, c’est parce que le verre est réutilisable plusieurs fois. Le système de consigne à Maurice permet d’utiliser une même bouteille cinq fois dans la ligne de production. Autrement dit, nos bouteilles ont six vies. Les autres types de verres ou les bouteilles usagées sont récupérées par deux organisations. La Mauritius Glass Gallery de Phoenix transforme le verre usagé en bol, vase ou carafe. La coopérative Plankton à Bel Ombre fabrique des granules et graviers – les premiers servent de filtre à eau, les seconds interviennent dans la construction. Abandonnée dans la nature, une bouteille en verre met 4 000 ans à se dégrader complètement…
VRAI. Trier et recycler participe à la lutte contre le réchauffement climatique, en réduisant nos émissions de gaz à effets de serre. Le recyclage est même le deuxième levier de diminution de ces gaz, après la réduction des déchets à la source. Concrètement ? Une tonne de verre recyclé, c’est une économie d’émissions de gaz à effet de serre de 300 kg. Ou comment un petit geste devient une solution efficace pour lutter contre le réchauffement.
INI’Vert est une campagne menée tout au long de l’année par Ascencia et la Rogers Foundation. Objectif : sensibiliser et éduquer pour un engagement plus fort des Mauriciens en faveur de l’environnement. Depuis son lancement, INI’Vert encourage les initiatives pour réduire, réutiliser ou recycler ses déchets.
INI’Vert
D’ici fin juin 2019, les malls d’Ascencia produiront 30 % de leur consommation d’électricité. Et ce, grâce à des panneaux photovoltaïques installés à l’abri des regards sur leurs toits. Ces installations s’inscrivent dans la stratégie du groupe qui s’est engagé à réduire son empreinte carbone et d’offrir des espaces de vie écologiques et durables à ses clients. Si Phoenix Mall et Bagatelle Mall sont le fer de lance de ce projet, avec les plus grosses fermes, Kendra et Les Allées ne sont pas en reste.
Avec 2282 modules installés sur son toit, Phoenix Mall a été le premier centre à s’équiper d’une ferme solaire. Opéra- tionnelle depuis juillet 2018, elle a une capacité maximale de 730 kWh. Cet investissement, au coût de Rs 55 millions, permet au centre commercial de réduire son empreinte carbone de manière significative. En effet, cela représente une diminution de quelque 440 tonnes annuel- lement, équivalent à 1470 arbres plantés et 700 maisons construites pour des foyers à revenus moyens.
Fleuron d’Ascencia, Bagatelle Mall accueillera la plus grosse centrale photo- voltaïque du groupe. Les 6250 modules installés sont une production maximale de 2 MW.
Le développement durable est au cœur des initiatives. En 2018, 25 % des déchets produits par les centres commerciaux d’Ascencia ont été recyclés. L’objectif est d’atteindre la barre des 50 %, voire plus. Parallèlement, les centres font un suivi méticuleux de leur consommation d’eau, dont 60 % de l’eau recyclée sert pour l’irrigation des espaces verts.
9278 modules installés
3 MW – capacité des installations photovoltaïques
30% des besoins quotidiens couverts par les fermes solaires En 2018, 25 % des déchets produits par les malls ont été recyclés
Ascencia a aussi mis en place un Oil Audit Program, dont l’objectif est d’accompagner les locataires à mieux suivre leur consommation d’huile. Ce programme prévoit qu’Ascencia récupère 7000 litres d’huile, soit 50 % de la consommation mensuelle des malls. Elle est ensuite remise à une entreprise qui la recycle pour lui donner une nouvelle vie comme bio-carburant dans l’agriculture. Dans le même esprit, les malls utilisent des produits d’entretien écologiques, certifiés par la National Science Foundation, organisme de certification américaine.
Les centres ont aussi montré leur engagement à travers des initiatives comme le Green Market à Bagatelle Mall en juin 2018. Le but était d’informer et sensibiliser les visiteurs sur l’importance de protéger la planète. Pour l’occasion, plus d’une vingtaine d’exposants étaient présents, notamment des entreprises et des organisations non gouvernementales.